N.K 5-4 HOF (4-5 la veille)

• Nombre de joueurs effectifs: 29-38
  
• Nombre de joueurs blessés/manquants: 8-6

Malgré l’infériorité numérique manifeste, et mené 4-5 hier soir, j’ai réussi l’exploit de sortir HOF! La différence s’est faite aux 3PTM/RBDS (17-13 et 33-26); mais avec un 13-10 aux TO, on n’était pas loin du TIE également.

Jouant sans Randle mais aussi Quickley, j’ai dû faire quelques recrutements qui n’ont pas impacté la match-up. C’est mon armada de scoreurs notamment sur l’aile qui a porté mes derniers espoirs en matière de victoire et qui justifient ces beaux chiffres sur les 3PTM/PTS. On retrouve Kyrie Irving en leader (105pts à 53% et 83%, 15 3PTM, 12rbds, 22ast, 3st et seulement 6TO) d’une propreté admirable; bien soutenu par un DeRozan impeccable (112pts à 48FG%, 18rbds, 18ast, 8st, 3blks) et les artilleurs maisons qui sortent du bois, McCollum (72pts à 100FT%, 11 3PTM, 15rbds, 17ast, 3st) et Cam Thomas (58pts à 86FT%, 9 3PTM, 10rbds, 10ast). On a déjà 38 3PTM sur ce quatuor, cependant la palme revient à mon aile portée par mon FP Kevin Durant (85pts à 63FG%, 11 3PTM, 27rbds, 10ast, 2st, 6blks) bien épaulé par Miles Bridges (85pts à 47FG%, 10 3PTM, 27rbds, 11ast, 4st). Ces deux gaillards pallient à ma nullité inside (blessures de Randle, Robert Williams III etc.) et font un bon complément à mon Bam Adebayo (67pts à 55FG%, 31rbds, 19ast, 5st, 3blks). Tout est productif, efficient, efficace et Tobias Harris arrive en joker de luxe pour assurer les pourcentages/RBDS (47pts à 48% et 100%, 24rbds, 5blks); plus qu’une semaine à tenir sur cette lancée….

Sans LaMelo Ball, et perdant Alvaro dans la semaine, HOF a tout donné. Il aura dominé outrageusement les ST/BLK, clairement, mais il aura manqué d’impact et de production unitaire pour faire la différence sur le reste des postes. En effet, avec 9 joueurs en plus sur la semaine, en théorie, la victoire était toute acquise; mais les perf’ ont été décevantes. Je pense à quelques joueurs qui n’ont pas répondu présents comme JJJ (32pts, 17rbds, 6st, 6blks), Brook Lopez (29pts, 14rbds, 5blks) en manque de 3PTM et même tous les « cadres » dans leur ensemble. On retrouve Devin Booker (67pts à 84FT%, 5 3PTM, 14rbds, 18ast) et VanVleet (60pts, 10 3PTM, 11rbds, 23ast, 9st, 4blks) qui assassinent les FG% mais n’apportent pas suffisamment sur l’offense. 3PTM/PTS ont été assez lâchement abandonnés, LeVert (26pts, 16rbds, 20ast, 5st, 4blks) et Keyonte Geeorge (38pts, 16ast) n’ayant pas fait exception dans le domaine, ils perdent même 24 ballons à eux deux (coup de grâce à mon sens). Enfin, Porzingis (56pts à 90FT%, 22rbds, 3st, 10blks) imite les autres cadres, tandis que Murphy III (42pts, 87FT%, 9 3PTM, 26rbds, 4st) aurait pu faire la différence aux RBDS qui se jouent à peu. Une baisse de régime globale qui arrive au pire moment possible et non compensée par le nombre de JE.

RIP 6-3 Larry (6-2 la veille)

• Nombre de joueurs effectifs: 34-31
  
• Nombre de joueurs blessés/manquants: 9-10
  

Logique respectée, RIP est champion et continue sur sa lancée avec des statistiques de haute-volée sur les cumulatives lourdes. Il se permet le luxe d’être également assez efficace et de jouer les TO face à son adversaire de la semaine. On n’enlèvera pas à Larry qu’il aura perdu KAT et Sengun en fin de saison, là où il perd aux RBDS/AST/BLK…

En dépit des absences de Tyler Herro, Jalen Johnson et Cade Cunnigham sur deux matchs, Anthony Davis sur un match, RIP s’envole logiquement vers la grande finale. DeJounte Murray sort la semaine de sa vie pour porter l’effectif offensivement (113pts à 15 3PTM, 23rbds, 41ast, 7st, 3blks) dans un all-aroundisme de MVP. Il n’est pas le seul à avoir fait une semaine dantesque, puisque les jeunes pousses d’OKC ont sorti les crocs avec Jalen Williams (98pts à 53FG%, 7 3PTM, 15rbds, 26ast, 6st, 5blks) et Josh Giddey (!!!) étonnement (72pts à 64FG%, 7 3PTM, 29rbds, 20ast, 2st, 3blks), versatiles comme jamais et qui auront joué le rôle de variable d’ajustement de façon extraordinaire. Laissant aux cadres comme Mikal Bridges (51pts, 13 3PTM, 11ast, 5st) et inside, Jarrett Allen (54pts, 32rbds)-  Anthony Davis (82pts à 50% et 90%, 52rbds, 2st, 7blks) le soin de parachever l’œuvre. On donnera une mention spéciale à Hartenstein (45pts à 63FG%, 30rbds, 15ast, 4st, 4blks) pour sa polyvalence et aux jokers de luxe sur l’attaque, Beasley (51pts, 13 3PTM) et Hunter (47pts, 8 3PTM, 20rbds).

Difficile de faire face à une telle armada et une telle symbiose des performances. Pour Larry, le coup fatal est venu de la blessure de Kuminga, en sus de Sengun et KAT, mais aussi des matchs manqués ou des perf’ abyssales de joueurs comme Nurkic ou Derrick White qui permettaient de donner le change. D’autant plus que les leaders ont été un brin timoré, à l’instar de Banchero (51pts, 25rbds, 14ast, 2st, 5blks) et surtout de la mène. C’était le gros point fort de Larry, et là Haliburton (55pts, 12 3PTM, 13rbds, 22ast, 4st) ne rend pas honneur à sa saison, laissant s’échapper l’habituelle catégorie des AST. Pourtant, D’Angelo Russell (76pts, 14 3PTM, 18rbds, 27ast, 8st) et D’Aaron Fox (88pts, 9 3PTM, 25rbds, 25ast, 9st, 3blks) ont porté l’équipe de leur polyvalence et de leur productivité, avec le soutien de Josh Hart (31pts, 35rbds, 26ast). Je jette aussi une pierre au visage d’Andrew Wiggins qui s’engonce de plus en plus dans un rôle très moyen de scoreur sans reflet.

La Grande Finale

• RIP (1) vs N.K (3)

 Chargement ...

La Petite Finale

• Larry (5) vs HOF (7)

 Chargement ...

La consolante