PBFL 2k17: La Mock Draft tant attendue

Vous l’attendiez avec une impatience non dissimulée, elle est là. La Mock Draft. Pour certains, c’est un guide, une façon de laisser la responsabilité de son choix à une puissance supérieure et dotée d’arguments infaillibles pour s’auto-convaincre. Contrairement à la tradition, celle-ci ne sera pas fumeuse, car j’ai le quatorzième pick, autrement dit, j’ai le désir intime de vous voir vous cannibaliser sur les dix premiers tours, et cracher votre venin à la fois sur mes bons conseils, mais aussi sur les choix logiques des bonhommes devant vous.

Sans plus attendre, la Vérité, que dis-je, le Sens de la vie, vous est révélé.

(Nd;lr: La vidéo a été effectuée mais des soucis d’audio me contraignent à la garder sous scellés. Vous ne saurez donc jamais quel était le montant du chèque de Nico et le droit d’entrée de Dom, quant à Jérôme, le paiement est TOUJOURS effectué en nature.)


1. Nico – Russell Westbrook (23.5pts, 7.8rbds, 10.4ast)

Je ne m’étais honnêtement pas rendu compte du rendement du gaillard, presque en triple-double de moyenne. On avait là un Westbrook affublé d’une star (Durant), et nous récupérons cette année un Russell en solo avec un side-kick (Oladipo) et surtout, une énorme revanche à prendre sur la NBA et contre KD. C’est le motif principal de ce number one pick, Westbrook parait survolté. Il a survolé la présaison en claquant de belles perf’ et en faisant le show. Son apport? Gargantuesque.

Il va taper sur toutes les bonnes catégories avec des 3PTM et des steals pour agrémenter tout son côté offensif. Seul défaut, à venir, c’est son pourcentage au shoot, et ses TO, qui en pâtiront.

Clairement, un no-brainer.

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2. NEWDom – James Harden (29pts, 6.1rbds, 7.5ast)

Exit les boulets cette année au Rockets – et je vise particulièrement Dwight Howard. Hormis Nênê inside, il n’y a pratiquement que des shooteurs longue-distance dans le roster (Ryan Anderson, Eric Gordon, Trevor Ariza, Motiejunas…), tout ce beau monde coaché par MIKE D’ANTONI! Ce dernier va mettre en place deux choses: Harden jouera PG/SG/SF (triple-compétence affolante en Fantasy), il va distiller une masse incroyable de ballons dans un jeu up-tempo favorisant les tirs rapides, les fastbreak et les paniers faciles.

Bien sûr, cette équipe ne fera rien en Playoffs, mais on s’en fout. Harden va faire exploser les compteurs, encore plus que d’habitude….Bref, no-brainer, encore.

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3. Jérôme – Karl-Anthony Towns (18.3pts, 10.5rbds, 2ast, 1.7blks)

Je sais bien que tu veux blinder avec un TOP PG/SG contrairement aux années précédentes, mais le sort s’acharne. Tu ne PEUX PAS, en toute quiétude, laisser passer le Wolf qui va rappeler à la NBA ce que faisait Garnett en son temps. Le bonhomme est en double-double de moyenne avec un QI basket extraordinaire, c’est un fait. Il est aussi doté de très bonnes mains donc les pourcentages, c’est dans l’escarcelle.

Ce qui rend son profil TOP 3 est assez limpide: Thibodeau à la baguette d’une part, une équipe très dangereuse autour de lui (Rubio, Wiggins, LaVine, le phénomène Dunn) avec une compétition presque inexistante sous les panneaux. Il peut allègrement lorgner sur les 20pts-10rbds de moyenne, tout en étant une sécurité et un investissement rentable sur pas mal de catégories. Il n’y a que des avantages à l’avoir dans son roster (PF/C).

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4. Larry – Steph Curry (30.1pts, 5.4rbds, 6.7ast)

Kevin Durant qui vient renforcer les Warriors est un signe doublement annonciateur: d’abord, les Warriors ne feront pas une saison à 73 victoires pour une défaite en Finals comme la saison dernière. Ils vont avoir du mal à s’ajuster et nécessiter des cartons de leur leader offensif (dont le quota de passes pourrait frôler les 10ast de moyenne). D’autre part, les options offensives sont à présent légions, et le triumvirat Curry-Klay-KD se partagera 80-90ppg par match, sans le moindre souci.

Là où je crois en Curry, c’est sur sa régularité. Je l’ai eu en Fantasy, c’est un métronome, très peu blessé et extrêmement rentable. Tu ajoutes une menace offensive du niveau de KD et un supporting cast de haute-volée concentrée sur la défense, ça te donne un schisme en faveur de Steph et de sa propension à prendre le match à son compte. Il n’y aura pas d’autre TOP PG/SG une fois que tu auras passé ton tour, alors, soit rationnel et prends-le.

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5. Arthur – Lebron James (25.3pts, 7.4rbds, 6.8ast)

Champion en titre, Lebron atteint son pic en terme d’efficacité (52% au shoot la saison dernière) tout en s’appuyant de plus en plus sur ses coéquipiers enfin sortis de l’infirmerie. C’est pour le coup, le seul joueur du roster qui manque très peu de matchs en dépit d’une charge assez lourde (35/36mins de moyenne), il passe très rarement sous les 70 matchs par saison, et joue à plusieurs postes.

Lebron est aussi bien entouré (Irving, Love, JR Smith) et une pelletée de mercenaires ayant tous pour point commun de savoir balancer des tirs à 3pts dans le corner. Plus d’options offensives, plus de passing, plus de menaces libérant les stars, c’est une aubaine pour James qui cherchera à prouver aux Warriors qu’avec ses potes un peu gogols (Smith, Schumpert), il a de quoi faire la nique à n’importe quelle « étoile noire de la NBA ». Period!

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6. NEWEagle – Chris Paul (19.2pts, 4.2rbds, 10ast, 2.1st)

CP3 est ce qu’on appelle une valeur sûre. Il fera ses stats, complet comme jamais, son équipe gagnera 50 matchs et ses coéquipiers feront toujours le boulot, cette année encore. Il est complet, adroit au tir, il plante 1.6 3PTM par match en sus de marquer, rebonder, passer, voler des ballons.

Seul mauvais point du bonhomme, il est confiné au poste de PG et n’a pas le loisir de bouger, donc PG ou Util, ou rien. C’est un très petit downgrade, pour un meneur de ce calibre, là où la déception peut poindre, ce sera plutôt côté blessures. Comme tout joueur, tu me diras, et tu auras raison, alors prends CP3 et STFU.

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7. Zezotte – Anthony Davis (24.3pts, 10.3rbds, 2blk, 1.3st)

Cinquième saison pour Davis dans un roster de Pelicans qui rappelle plus le cast de Game of Thrones qu’autre chose. Non, Omer Asik et Kendrick Perkins ne prendront pas une miette du jeu de Davis dans la raquette, il n’y a qu’Ajinca pour faire ça. Mieux, Davis est entouré en réalité joueurs All-Around de bon calibre (Holiday, Evans, Stephenson) ou d’artilleurs comme Terrence Jones, assurant sa proéminence inside.

Seule ombre au tableau, ses blessures et ses matchs manqués. Il est absent de 20 matchs en moyenne sur la saison dans une future-never-ending-losing-team. Il est grand temps que ses talents soient mis à rude épreuve, ce sera le cas, il va littéralement devenir l’alpha et l’oméga des siens, avec Alvin Gentry à la baguette, un coach qui ne jure que par son franchise player. Rendement solide, titularisation indiscutable, stats assurées et très peu de déchet, c’est cadeau.

Oct 1, 2016; Bossier City, LA, USA; New Orleans Pelicans guard Buddy Hield (24) and forward Anthony Davis (23) and guard Tim Frazier (2) and guard Lance Stephenson (5) walk onto the court after a time out against the Dallas Mavericks during a game at CenturyLink Center. New Orleans won 116-102. Mandatory Credit: Ray Carlin-USA TODAY Sports


8. Max – Kawhi Leonard (21.2pts, 6.8rbds, 2.6ast, 1.8st, 1blk)

Gregg Popovich n’a cessé de le marteler: Kawhi est LE futur de la franchise. Tim Duncan ayant pris sa retraite, Kawhi devient l’homme à tout faire dans un effectif vieillissant où Parker et Ginobili n’ont plus (et n’auront plus) l’impact de leur jeunesse, l’argentin jouant certainement sa dernière saison. En fait, les Spurs ont construit un nouveau Big Three alliant Kawhi à deux tours jumelles, Aldridge et Pau Gasol.

Autant dire que Leonard est clairement la solution numéro un de l’effectif, condamné à voir ses lignes stats augmenter et noircir toutes les cases avec une efficacité rare. Il shoote excellemment bien (>50%) avec presque 2 tirs à 3pt par match (1.8) tout en faisant tourner la machine Spurs à plein régime. Mieux, le backcourt (Mills/Kevin Martin) peut lui apporter de la flexibilité, lui qui peut déjà jouer sur les postes 2-3 sans problème, voire 4 au fur et à mesure de la saison. Son apport, sa solidité, sont considérables.

Oct 8, 2016; San Antonio, TX, USA; San Antonio Spurs small forward Kawhi Leonard (2) reacts after a shot against the Atlanta Hawks during the first half at AT&T Center. Mandatory Credit: Soobum Im-USA TODAY Sports


9. Rip – Kevin Durant (28.2pts, 8.2rbds, 5ast, 1st, 1.2blk)

Qui aurait cru que KD35 sortirait du TOP 5 Fantasy? S’il avait resigné, c’était premier ou second pick assuré. Non, il rejoint les Warriors et leur armada de feu-follets artilleurs, soit une baisse certaine de son apport statistique pur. Il n’enquillera plus de telles chiffres mais restera complet et ultra-performant offensivement parlant.

C’est tout de même un joueur qui shootait à plus de 50% de réussite au tir dont 38% à 3pts et 89.8% aux lancers, au Thunder, où il était co-star. A présent, dans le jeu débridé et à cent km/h des Warriors, il devrait claquer ses 25-5-5 en baissant drastiquement son déchet en terme de pertes de balles et en améliorant encore, s’il le fallait, son efficience. D’autant qu’il pourrait rapidement faire le SG/SF/PF en terme de polyvalence de postes, ça n’étonnerait personne. Il a fait taire les critiques avec Team USA, assez calmement, rappelons-le.

Conclusion: c’est un oui à ce niveau de la Draft, il est le point de bascule entre l’élite de la ligue et le reste.

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10. HOF – Damian Lillard (25.1pts, 4rbds, 6.8ast)

A l’instar d’Anthony Davis, c’est sa cinquième saison dans la ligue « seulement », il y est pour autant très bien installé dans l’inconscient collectif comme le nouveau visage des Blazers sur du très long-terme. Son atout principal vient du roster qui lui sert la soupe: hormis McCollum, il n’a que de jeunes pousses voulant montrer leur jeu (Vonleh, Leonard) et des joueurs de troisième rang. Prédiction réaliste: explosion des compteurs stats.

Les signatures de Evan Turner et Crabbe lui permettront de trouver encore plus de solution offensives – ce qui n’est pas un mal – tout en continuant à enquiller 3.1 3PTM par match! Seul son déchet fait peur à voir, il a des pourcentages plus que douteux et pas mal de ballons perdus à son actif. Néanmoins, son association avec un autre combo-guard pourrait valoir de très beaux points à cette équipe de fin de draft.

Lillard = HOF, en fait.

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11. Rigo – DeMarcus Cousins (26.9pts, 11.5rbds, 3.3ast, 1.6st, 1.4blks)

Dave Joerger à la tête des Kings, Rajon Rondo dégagé pour faire du trident Collison-Gay-Cousins une pierre inamovible du roster, que peut-on espérer de mieux? Que Cousins soit heureux, ce qui semble être le cas. L’attaque proposé par le nouveau coach plait au joueur, qui a quand même réalisé sa meilleure saison statistique avec Karl qu’il détestait et en dépit de déchet dans son jeu (pourcentages, TO).

Il n’a montré que des signes positifs depuis les J.O, alliant une bonne attitude en tant que coéquipier avec ses talents sur le parquet. Puis, il n’a pour ainsi dire aucune concurrence à son poste, les artilleurs forment le gros de l’effectif, de quoi lui permettre de tenter des tirs à 3pts comme il aime le faire, et de devenir le Big Men qu’attend tout Sacramento. Tous les indicateurs sont au vert pour Cousins, go!

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12. Mustang – Giannis Antetokounmpo (16.9pts, 7.7rbds, 4.3ast, 1.2st, 1.4blks)

Qu’on se le dise: oui, les Bucks, c’est un bordel sans nom. Il y a trafic infernal dans la raquette, des joueurs avec des profils très différents, des vétérans, des nouveaux, des « has been », des reliques….Bref, la stabilité n’est pas à chercher dans ce mic-mac incompréhensible monté par J-Kidd. On la trouve chez Antetokounmpo dont la troisième saison fût celle de la confirmation sur les plans de son jeu ultra-polyvalent.

Tous les insiders le mettent très haut dans les ranking, à raison: il joue à tous les postes, il drive même l’équipe au poste 1, et le départ de Michael Carter-Williams fait de lui le seul véritable organisateur de l’équipe, sans Khris Middleton, encore blessé. Tout indique qu’il aura donc une charge de travail encore plus lourde, et donc deviendra un pivot statistique de cette Fantasy. J’y crois, c’est LUI le patron.

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13. Stephyx – Hassan Whiteside (14.2pts, 11.8rbds, 3.7blks)

Ben l’a prouvé la saison dernière: avec Whiteside, il remportait les contres avec une facilité déconcertante, et jouait du rebond avec les meilleurs tout en assurant des pourcentages de dingo (>60% de réussite). Je vois bien le poitevin pleurnichard venir pérorer de sa nouvelle acquisition, qui n’est pas un pari si débile en ce treizième pick, une association peut vite être trouvée.

La montée en puissance de Whiteside est inéluctable. Les départs de Wade et Bosh ouvrant la voie de la reconstruction des floridiens dont le roster est rempli de jeunes et de joueurs cherchant du temps de jeu, l’axe Dragic-Whiteside devrait prendre le pouvoir rapidement. Des tickets shoots, un vrai statut de « star » de l’effectif, un contrat en béton armé, rien n’empêchera Whiteside de devenir « the next big thing » pour le Heat. S’il passe PF/C, c’est un no-brainer.

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14. N.K – John Wall (19.9pts, 4.9rbds, 10.2ast, 1.9st)

Je crois que ce sera la troisième saison d’affilée que je le sélectionne au premier tour. Wall ne m’a jamais déçu, c’est un des rares meneur qui atteint régulièrement les dix assists par match, il marque, il prend des tirs de loin, il rebonde, il fait tout à Washington. Cette année plus que jamais, il doit prendre les choses en main car le recrutement a été plutôt médiocre autour de lui, je le vois même se décaler SG pour que Burke drive l’équipe.

Le banco serait de faire une association avec Beal, détonante si l’infirmerie l’abandonne. Je crois surtout que Scott Brooks aux manettes, c’est l’assurance d’avoir un Wall transmuté Westbrook pour écraser leurs adversaires, mark my words. Je suis assez fidèle en amour (autant que faire se peut), je vais donc réitérer ma confiance au mur.

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15. Ben – Paul George (23.1pts, 7rbds, 4.1ast)

PG3 semble être revenu de sa lourde blessure avec plus d’aplomb que jamais. Il est en fait de retour avec un effectif plus qualitatif que jamais: Teague, Monta Ellis, Al Jefferson, Thad Young, ce 5 majeur est, sur le papier, dantesque. Cependant, le risque est présent de voir George se noyer dans un trop petit nombre de tickets shots ou se blesser. A contrario, je parierai sur une montée en puissance statistique très clair du bonhomme et ce pour plusieurs raisons.

D’abord, il joue avec des blessés notoires, qui manqueront leur lot de matchs. Ensuite, c’est le SEUL joueur vraiment constant en attaque, McMillan fera passer rapidement son lot de scoring par lui afin de reproduire la dynamique des Hawks de Budenholzer. Enfin, George est sur la jaquette de NBA2k17, ce qui ne peut vouloir dire qu’une chose: une belle saison l’attend. Jeu, set et match.

Dec 2, 2015; Los Angeles, CA, USA; Indiana Pacers forward Paul George (13) reacts after he is unable to catch a pass during the third quarter against the Los Angeles Clippers at Staples Center. The Indiana Pacers won 103-91. Mandatory Credit: Kelvin Kuo-USA TODAY Sports


16. Néo-Alpha – Al Horford (15.2pts, 7.2rbds, 3.2ast)

Le steal de la draft. Avec le dernier pick, on peut tenter de belles choses et de belles associations, Néo n’a que l’embarras du choix mais je suis assez magnanime pour l’aider dans cette difficile prise de position. A mon sens, le contrat signé par Horford sous l’égide d’un Brad Stevens amoureux de son nouveau joujoux-intérieur, c’est un billet pour le All-Star Game.

Horford va retrouver son double-double de moyenne avec Isaiah Thomas en point de mire, et un effectif qui a énormément de choses à prouver, risquant de bouger au cours de l’année sans grande surprise. Ma préférence s’explique aussi par son nouveau rôle de pivot extérieur, il a acquis un véritable shoot de loin (1.1 3ptm) alors qu’il n’en shootait jamais auparavant, et nul doute qu’il sera mis à contribution. L’axe Thomas-Horford pourrait être une belle association en cette fin de draft.

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Ecrit par:

N.K

7 Commentaires

  1. Eagle -  20 octobre 2016 - 13:37

    Hum 6e place pour une première sur PBFL c’est pas mal , je suis presque en plein milieu de chaque tour c’est pas mal 🙂 et finalement on est à 16 donc !

    Répondre
  2. stephyx -  21 octobre 2016 - 10:35

    encore une place mediocre… l’idéal selon moi est entre 6 et 9. Bref, on fera avec….

    Répondre
    • Eagle -  21 octobre 2016 - 11:49

      Tu pourras nous montrer tes talents comme ça 😀

      Répondre
      • stephyx -  21 octobre 2016 - 16:19

        j’aurais le 164 eme choix de draft que je vous exploserez quand même tous… donc je te rassure ma contrariété pour ce spot n’a été que pour une durée infime

        Répondre
        • Eagle -  21 octobre 2016 - 19:47

          Chiche ? tu m’échange ton 13e pick contre mon tout dernier pour voir ça Xd

          Répondre
  3. Mustang -  21 octobre 2016 - 16:51

    Euh NK c’est quoi cette blague.
    Apres mes deux années ou j’avais le first, je m’étais habitué.
    Bon déjà l’année dernière tu me mets 3ème et j’ai fermé ma gueule t’as vu!
    Mais la 12ème, je vais être obligé de l’ouvrir et crier au complot.

    J’espère que Ricky sera encore dispo à ce stade.

    Répondre
  4. Jérôme -  21 octobre 2016 - 22:56

    Tu lis en moi comme dans un livre, ça en devient frustrant.
    Bon par contre, promis, cette année, je me retiens et je ne drafterai pas Pekovic.

    Répondre

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