Bilan de mi-saison de la PBFL

12 janvier 2015 Par : N.K Dans :  PBFL 9 Commentaires

Comme chaque année, à la mi-saison (10 matchs joués sur 20), je prends le temps de vous pondre un joli petit bilan assez exhaustif tant pour vos équipes que pour le devenir de la ligue. Suivant le canevas habituel, nous parlerons du TOP 8 et du FLOP 8, de l’impact des catégories statistiques sur nos choix de draft et notre réussite, le nombre de moves, la place à la draft etc….

TOP 8 Playoffables

Évolution des différentes positions pour les 8 premiers du Championnat:

 

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#1 Bob

Bilan: 9-1-0

Élu 4 fois meilleure équipe de la semaine en 10 rencontres et possédant pas moins de 5 catégories emportées avec une régularité terrifiante, Bob est naturellement le Champion d’Automne. Il n’a d’ailleurs été second qu’une seule fois, en Week 1, pour connaitre une inamovibilité de trône frustrante pour ses poursuivants.

Cette stabilité à toute épreuve se retrouve dans le roster où 8 joueurs sur 12 de la draft sont encore présent. Cela n’empêche pas Bob d’être très actif sur le marché, c’est le manager qui a fait le plus de moves depuis le début de la saison avec 16. Mieux, il ne possède réellement qu’un point faible en terme de configuration statistique: ce sont les Assists, 13ème dans la catégorie au Total et à 3-7 contre les autres managers car ne comptant que trois joueurs à plus de 100 assists depuis le début de la saison.

Autrement, c’est bien sa place de numéro 2 qui lui a permis de prendre Anthony Davis. Un des probable candidat au titre de MVP tourne à 23.8pts (56.5% et 81%), 10.5rbds, 1.5st, 2.9blks! Il compte surtout sur ses ailiers pour faire le travail offensivement, avec efficience (FG/3PTM/PTS/ST) sur au moins quatre catégorie. Ils sont d’ailleurs 4 à scorer au moins 15ppg, on retrouve Wes Matthews (16.6pts, 3.1 3PTM, 1st), Chandler Parsons 15.5pts, 2.1 3PTM, 4.9rbds, 1st) et Ariza (12.7pts, 2.4 3PTM, 5.7rbds, 2st); ajoutons Carroll, belle surprise en défense et à 3PTS (11.4pts, 1.6 3PTM5.8rbds, 1.3st). Ces joueurs permettent, avec leur polyvalence, de couvrir plus de postes (2-4) et font de Bob, sans réelle surprise, le GM qui a eu le plus de joueurs effectifs sur la première partie de saison (31.2 en moyenne).

En comptant des ailiers rebondeurs, l’effectif pallie à la petite faiblesse sous le cercle (peu de soutien derrière Davis, pour être franc), et ce sont au final, les deux meneurs qui enfoncent le clou. Darren Collison (16.6pts, 1.3 3PTM, 3.1rbds, 6ast, 1.7st) et Mike Conley (18.1pts, 1.7 3PTM, 3.5rbds, 6.1ast, 1.3st) ont la particularité d’avoir un jeu très similaire, où la gonfle est dominée sans trop de gaspille (2.5TO pour le premier, 2.2 pour le second), ce sont d’ailleurs les seuls joueurs de l’effectif à perdre plus de 2 ballons par match! Oui, A.Davis n’est qu’à 1.4, et Ariza est le plus dispendieux chez les artilleurs (1.7).

Conclusion: Cette formation est assez éclectique et tape plus sur l’offense qu’autre chose, avec « efficacité » , le maitre mot de Bob.

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#2 Ben

Bilan: 7-3-0

Héritant de la 13ème place à la Draft, Ben a su prendre les citrons qu’on lui donnait pour en faire de la limonade. Il est d’ailleurs l’Homme qui a claqué un 9-0 sur la tête de Jérôme en Week 6 et ce, en dépit des quelques blessures qui ont touché son roster.

En effet, Ben a la particularité d’avoir fait des choix tellement solides qu’il n’a utilisé qu’un seul move en 10 semaines, il n’y a que Zezotte (bon dernier) pour le suivre dans cette non-activité F.A (2). On rappellera que les GM ont réalisé en moyenne 9.4 move en cette première partie de saison, pour montrer la « petite » prouesse du lillois. J’avoue que la puissance de sa draft laisse rêveur (même s’il ne fait que les 6 premiers choix, le reste ayant été Yahootisé), il comble tous les postes et se retrouve à toucher toutes les catégories plus ou moyen bien. Les PTS/FT/AST supportés par ses meneurs et arrières, une certaine égalité sur les 3PTM à la faveur de absences de Kevin Martin et DeMar DeRozan dans les dernières semaines de la saison et les Blocks, sur son MVP espagnol.

Pau Gasol est définitivement la plus grosse surprise de la saison en terme de rendement statistique: 18.7pts à 48.7% et 81%, 11.3rbds, 2.7ast, 2.2 blocks! Seul bémol, son soutien, un peu faible de Greg Monroe (14.9pts, 9.7rbds), Sims et Plumlee, expliquant son 4-6-0 au rebond. La véritable force de l’équipe se concentre sur les lignes arrières, fournies à foison de titulaires. Si Kyrie Irving est parfois décevant (21pts, 1.6 3PTM, 3.1rbds, 5.1ast, 1.6st) il noircit les cases avec de bons pourcentages, en compagnie d’un John Wall maitre d’orchestre (17.2pts, 4.4rbds, 10.3ast, 2.1st). Il suffirait pourtant que DeRozan (19.4pts, 4.2rbds) et Kevin Martin (20.4pts, 2.9 3PTM) reviennent pour à nouveau propulser l’effectif à la chasse de Bob.

Il n’empêche que le banc fait le boulot et c’est un point très positif pour la fin de saison. En effet, JJ Redick a fait un retour fracassant aux Clipps (15.1pts, 2.5 3PTM), et les jokers de luxe s’accumulent avec Pierce (12.6pts, 1.4 3PTM) et Hardaway Jr. Enfin, LE steal de la saison est aussi pour le lillois, c’est Draymond Green, qui a volé la place de titulaire à David Lee et frôle les triple-double assez régulièrement (9.8pts, 9.5rbds, 5.2ast, 1.9st sur les 30 derniers jours).

Conclusion: En bonne santé, cet effectif peut encore mieux faire et l’inactivité de Ben impressionne d’autant qu’il continue de gagner, sans compter sur un nombre de joueurs effectifs dantesque (8ème).

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 #3 Larry

 Bilan: 7-3-0

Parcours nettement plus sinusoïdale de la part de Larry, en dépit de sa domination sur pas moins de 6 catégories statistiques où le volume prime (expliquant aussi cette faiblesse aux FG%/TO). Quant à la production, elle est à ce niveau car 30.7 joueurs en moyenne par semaine, c’est la 3ème meilleure perf’ dans le domaine de la PBFL.

Ces écarts au classement sont dû essentiellement aux blessures qui ont touché à divers moments Larry, avec, par exemple le début de saison chaotique de Derrick Rose, les quelques matchs manqués par Marc Gasol, la lourde blessure de Robin Lopez ou encore l’absence d’Andrew Bogut (injury-prone devant l’éternel). Il a donc fallu jouer sur la Free Agency (14 moves, dans le TOP 5 des GM les plus actifs) et la Week 11 ne déroge pas à la règle, avec Rose et Fournier sur le flan.

N’empêche, ces différents moves ont attiré du Tristan Thompson, Dion Waiters, des joueurs confirmés qui étoffent un effectif qui repose sur une colonne vertébrale ultra-productive. Le squelette tient avec à sa tête Derrick Rose (16.9pts, 3rbds, 4.8ast), en son cœur James Harden MVPable (26.8pts, 2.5 3PTM, 5.8rbds, 6.6ast, 1.8st) et chevillé au corps, Marc Gasol (19.7pts à 50% et 80%, 8.1rbds, 3.6ast). Rose symbolise la production au détriment de l’efficacité (notamment aux FG%) en compagnie d’un Evan Fournier qui se révèle à Orlando (13.6pts, 1.6 3PTM) et Dion Waiters; Harden l’escouade polyvalente et efficiente, soutenu par Giannis Antetokounmpo, le couteau suisse des Bucks (11.7pts, 6.2rbds, 2.1ast, 1blk);

Et enfin, le secteur le plus éminent, la raquette, où Marc Gasol se voit affublé de deux intérieurs fuyant qui artillent longue distance, Markieff Morris, explosant aux Suns (15pts à 48% et 80%, 5.9rbds, 1.3st) et Ryan Anderson (15.5pts, 2.3 3PTM, 5.5rbds), seul Bogut apporte vraiment sur son poste (6.8pts, 9rbds, 2blks) avec Thompson (9.8pts, 8.1rbds). Bizarrement, les intérieurs font souvent le taffe des extérieurs et inversement, voilà où réside la force de cet effectif, même si la peinture est la plus productive, en dernière instance.

Cette stratégie a pour avantage de fournir en grands nombre les stats sur tous les postes volumineux mais 3 joueurs de l’effectif comptent + de 2.5TO par match et 6 joueurs forts en attaque n’atteignent pas les 45% de réussite, dont Harden. Il n’en reste pas moins que les blessés et les irréguliers peuvent plomber des match-up et faire couler l’effectif ou, le sauver et assassiner l’adversaire.

Conclusion: Du bon et du moins bon pour un « 3ème », qui devrait encore connaitre les chutes au classement et les remontées fantastiques, espérons que la pente sera ascendante en Week 20, grâce aux SuperStars.

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 #4 N.K

Bilan: 6-4-0

De la 15ème à la 3ème place en dominant pas moins de 6 catégories statistiques: comme un bon vieux moteur Diesel, mon équipe est montée en puissance (entre les différentes blessures, déceptions) pour se stabiliser grâce aux deux artilleurs de Golden State et une série de 5 victoires salvatrice.

J’ai attendu de voir si Gallinari ou McGee pouvaient revenir, en vain, pour recruter du Nick Young ou McLemore afin de densifier à un niveau de masse critique, mon backcourt d’artilleurs. Je compte 5 joueurs qui enquillent au moins 1.5 3PTM par match et pas moins de 6 autres pour voler 1 ballon minimum par match. Le recrutement fait tout, puisque le tandem Steph Curry (22.9pts à 49% et 92%, 3.0 3PTM, 5rbds, 8ast, 2.2st) – Klay Thompson (21.6pts à 46% et 87%, 3.0 3PTM, 3.1ast, 1.3st) explique à lui seul ma domination aux FG%/3PTM/PTS! Il suffit d’y ajouter une triplette d’arrières polyvalent pour entériner la chose: Jamal Crawford est même PG/SG/SF (15.9pts, 2.0 3PTM) avec Young (14.4pts, 2.1 3PTM) et McLemore (11.9pts, 1.7 3PTM).

Je contre-balance habilement en misant sur DeAndre Jordan (9.5pts, 13.7rbds, 2.4blks) qui me plombe à lui seul tous les FT%, malheureusement. J’essaye, aussi, de compter sur des ailiers noircisseurs de case comme Deng, Josh Smith et dernièrement, Michael-Kidd Gilchrist, qui satisfont dans leur domaine en apportant PTS/3PTM/RBDS/AST/ST et BLKS, à ne jamais sous-estimer (l’équipe de Bob le prouve). Il faut aussi un petit peu de chance dans tout ça: le nouveau rôle de Speights aux Warriors et le 2ème plus grand nombre de joueurs effectifs (30.9) sont des facteurs déterminants.

Conclusion: Cet équilibre fragile serait rompu par une blessure grave dans mon duo des Warriors; en attendant, je touche du bois et continue de m’appuyer dessus tout en surveillant avec acuité la Free Agency, qui bouge énormément cette année.

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 #5 Rip

Bilan: 4-6-0

L’ultra-spécialisation, c’est la recette de Rip pour grimper vers les sommets, tout en perdant le moins de points match-up possibles, à l’image de ses défaites: 4 sur 6 se sont terminées sur un bilan 4-5, expliquant pourquoi il est si bien placé en dépit du classement réel (4-6-0).

Le début de saison fut difficile, pourtant, car Rip connaissait de nombreuses blessures sur ses cadres: Michael-Carter Williams n’est revenu que le 15 novembre, Brook Lopez a manqué pas mal de matchs et sort encore du banc par occasions, Kawhi Leonard ne revient pas aux Spurs et l’éviction de Reggie Jackson tôt sont autant de coups dur pour l’effectif. Ces faits/choix sont d’autant plus marqués que l’équipe ne compte que 29.2 joueurs effectifs par semaine (11ème) alors que la moyenne de la ligue pointe à 29.4.

Ceci explique la lente remontée de notre spécialiste Europe. Les joueurs très polyvalents menés par Chris Paul dictent les victoires. En effet, compter dans ses rangs le duo CP3 (17.8pts à 48% et 89%, 1.6 3PTM, 4.5rbds, 9.6ast, 2st) – MCW (14.6pts, 6.3rbds, 7.5ast, 1.3ast) assure ce joli 9-1 aux AST. L’ajout d’ailiers athlétiques permet de sécuriser les ST, avec Rudy Gay (20.8pts, 6.2rbds, 1.3st) et plus spécialement Kawhi Leonard (15.2pts, 7.6rbds, 2.5ast, 2st) qui a connu une période faste vu les repos du Big Three, répétés, aux Spurs.

Le recrutement de Tony Allen visait d’ailleurs ce même objectif (2.2st par match), dans le même registre que Beverley (11.6pts, 2.4 3PTM, 4.8rbds, 3.4ast, 1.2st) dont la production est vraiment underrated. Si Brook Lopez restait en bonne santé, les RBDS seraient jouables plus régulièrement (14.8pts, 6.4rbds 1.6blks), il aide fort heureusement bien aux Blocks, à l’instar de Gorgui Dieng, qui profite de l’absence prolongée de Pek pour aligner de très belles stats dans le Minnesota (9.9pts, 8.2rbds, 1.1st, 1.8blks), étonnant comme Pachulia (7.7pts, 6.4rbds) qui profite lui des déboires de Sanders.

Conclusion: Cette part d’aléatoire qui sied à chaque saison joue à plein en faveur de Rip en ce moment, expliquant sa position et c’est surement sur les moindres défaites que ce GM peut créer la surprise en fin de saison. Merci CP3.

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#6 HOF

Bilan: 6-4-0

Le crédo « Offensif » a été adopté en FL depuis que je le connais et il se retranscrit toujours aussi bien sur les catégories statistiques. Je ne saurai en faire un corolaire direct mais les blessures accompagnent souvent les équipes d’HOF et cette année ne déroge pas à la règle: Alec Burks a terminé une bien belle saison touché à l’épaule, Westbrook a manqué plusieurs matchs, George Hill et Wilson Chandler trustent l’IR….

La nécessité de réaliser une bonne draft s’impose et c’est encore le cas, d’autant qu’HOF fait partie de ces playoffables en dessous de la moyenne au niveau des joueurs effectifs (29.3 par semaine). Quatre joueurs portent l’équipe statistiquement en scorant + de 15ppg et au moins 14 tickets shots par match. Un tandem de meneurs artilleur (what a surprise!) tenu par un Kemba Walker qui arrive à maturité (18.9pts, 1.6 3PTM, 4rbnds, 5.4ast, 1.4st) et Russell Westbrook (26.2pts, 5.6rbds, 7.1ast, 2.2ast), il est presque miraculeux d’arriver à enregistrer un 6-4 aux FG% avec ces deux gaillards, respectivement à 40.9% et 43% dans la catégorie.

Le fait est, qu’HOF entoure souvent ses artilleurs de joueurs plus efficaces avec des vocations souvent unidimensionnels à l’image de Terrence Ross (11.8pts, 2.0 3PTM) ou Courtney Lee (10.9pts, 1.3 3PTM, 1.0st) sur l’extérieur, ou des Alex Len (5.9pts, 5.6rbds, 1.5blks) inside, pas si inutiles qu’on pourrait le croire quand on compte peu de joueurs effectifs. L’autre belle pioche vient de la sélection d’un Paul Millsap gargantuesque aux Hawks (17pts, 8.1rbds, 1.8st) avec un supporting cast toujours précieux avec Jordan Hill (12pts, 8rbds), Gortat (12.5pts, 8.2rbds, 1.4blks) ou Olynyk (11.4pts, 5.9rbds). Même état sur le backcourt, où Hayward sévit (18.9pts, 1.6 3PTM, 4.9rbds, 4.1ast) avec Wilson Chandler et George Hill.

Conclusion: En réalité, la « prouesse » d’HOF (même s’il n’est pas taillé contender avec ses injury-prone), c’est d’avoir 12 joueurs qui participent effectivement et avec efficience aux statistiques de l’équipe globale, aucun ne mérite un aller-simple en Free Agency et c’est assez rare pour être souligné.

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#7 Nyco

Bilan: 5-5-0

Je crois que notre rookie l’aura remarqué de lui-même dès le premier graphique: c’est le seul playoffable qui perd lentement mais surement des places pour, à terme, quitter le TOP 8. 16ème de la draft, Nyco a pourtant connu un très bon nombre de joueurs effectifs (30.2, 4ème de la ligue), le souci vient probablement du fait qu’il ne sécurise réellement que 2 catégories tandis que 5 autres se jouent à chaque fois à très peu.

La faute en incombe peut-être à cette composition: 3 Top combo-guards avec deux bons intérieurs et un supporting cast hautement volatile dans sa production. Le Core6 n’est évidemment pas le souci, puisqu’il est à l’origine de l’immense partie de la production de l’équipe et ce faisant, influent sur les catégories, d’où les 3PTM/AST/ST pour le backcourt, les BLKS/TO avec le secteur intérieur. La triplette de meneurs est composé de Kyle Lowry (20.7pts, 1.9 3PTM, 4.8rbds, 7.8ast, 1.6st) – Monta Ellis (20.6pts, 1.2 3PTM, 4.5ast, 1.7st) – Brandon Knight (18.2pts, 1.9 3PTM, 4.2rbds, 5.2ast, 1.4st), comme on le voit, à la pointe comme on le voit.

Inside, le départ de Josh Smith a rendu Andre Drummond encore plus important à Detroit (12.6pts, 13rbds, 1.8blks), alors que Favors (16pts, 8.6rbds, 1.5blks) tient son rang. Le Core6 est complété par Danny Green (12.5pts, 2.5 3PTM, 4.5rbds, 1.4st, 1.2blks), vital par sa polyvalence aux Spurs, et qui a manqué quelques matchs importants. Très honnêtement, cette équipe devrait finir dans le TOP 8 si elle évite les blessures et que Nyco agit concernant Ilyasova et Terrence Jones (complètement bouclé à Houston, avenir incertain), deux boulets qui tirent l’équipe vers le bas. Généralement, avec un nombre de joueurs aussi important par semaine, les défaites s’expliquent par la pauvreté qualitative.

Ici, c’est aussi le fait que toutes les catégories sont jouables, un schéma qui peut s’avérer létale contre des équipes de spécialistes qui auront systématiquement 4-5 catégories et frapperont fort là où Nyco peut avoir des déficiences, avec, par exemple, le rebond, les FT ou les PTS. Un vieux débat entre les spécialistes et les généralistes, les ingénieurs contre les énarques, les pommes contre les citrouilles.

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#8 Stephyx

Bilan: 6-3-1

J’ai un peu honte de présenter cette équipe dans les playoffables. Avec un nombre de joueurs effectifs moyen dans le ventre mou (9ème avec 29.3) et le premier pick de la draft, Stephyx n’est qu’à 1.5 point match-up de tomber dans les Flop 8. Pour une fois, il a une excuse: la blessure pour 2 semaines de Lebron James fait mal au roster (2 défaites consécutives) comme les absences au début de saison de quelques cadres.

Point de vu configuration, on constate que Stephyx remporte très régulièrement 4 catégories stats: FG/RBDS/ST/BLK, celles qui sont communément le lot des ailiers forts/intérieur. Ce n’est pas pour rien que l’on retrouve 6 joueurs sur 12 sur les postes 4-5 (PF/C) et un seul joueur au-dessus des 20pts par match, l’étron. Il y a eu de sérieux couacs: la baisse de régime de Bledsoe, la blessure d’Oladipo et son sharing aux tickets shots, les Bennett/McDermott et autres Jameer Nelson qui sont allés voir en F.A si j’y suis….

Ne t’inquiètes pas, les mauvaises nouvelles sont à peu près terminées. Plusieurs choses poussent à considérer cette équipe en playoffable possible: Lebron James a trouvé son rythme aux Cavs et le spacing va le rendre encore plus efficace à défaut d’augmenter son rendement (25.2pts à 48%, 1.7 3PTM, 5.3rbds, 7.6ast, 1.3st) surtout qu’il adore distiller des passes cette année. Le tandem Bledsoe (16.6pts, 5.3rbds, 6ast, 1.6st) – Oladipo (15pts, 3.7rbds, 3.9ast) continue d’avoir les faveurs du coaching, avec leurs 33mins par match. Surtout, je pointerai la forme d’un Horford retrouvé (14.6pts, 6.5rbds, 1.4blks) comme Chris Kaman titulaire aux Blazers (9.3pts, 7.7rbds, 2.3blks) et décisif, à l’instar de Ty Chandler (10.7pts à 66%, 12rbds, 1.3blks) aux contres, remportés grâce à ce trio 9 fois sur dix.

Conclusion: Je t’enjoins à trouver un ou deux joueurs pouvant apporter aux FT/AST et faire pencher la balance si précaire sur laquelle tu joues depuis le début de saison. Se contenter de jouer la 6ème-8ème place ne suffira pas, il y a du monde qui peut remonter vite derrière (Néo-Alpha, Jérôme, Max, Rigo) à 3pts match-up, par exemple.

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FLOP 8 Non-playoffables

Évolution des différentes positions pour les 8 derniers du Championnat:

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 #9 Néo-Alpha

Bilan: 4-6-0

La 6ème position à la draft n’a pas aidé Néo, dont l’équipe a un fort potentiel, ruiné par les blessures récurrentes des cadres. Il fait d’ailleurs partie des GM ayant fait le moins de moves (2) et à l’évidence, ayant le moins de joueurs effectifs par semaine avec seulement 28.9 (13ème de la ligue).

En effet, posséder deux Spurs n’est pas une mince affaire en terme des matchs joués, Parker n’a joué que 24 matchs sur 38 par exemple, Kevin Durant en est à 14/37 après avoir manqué tout le début de saison tandis que les Burke, Dragic, Harris, Duncan, Mo etc… en manquent ici et là. Soulignons aussi l’éviction de Dion Waiters (nul aux Cavs, on est bien d’accord) qui retrouve du jeu à présent, mais ta réaction en F.A (Jodie Meeks) était adéquate.

Ces manques ne font pas tout. Seulement 4 catégories sont relativement bien assurées en dépit d’un effectif qui ne compte aucun joueur en-dessous des 10ppg, 7 joueurs avec 5rbds par match et 4 joueurs avec au moins 4ast. Pour parler déception, citer le trio de meneur n’est pas une mauvaise chose. Si Dragic tient à peu près son rang (16.9pts à 50% et 80%, 1.4 3PTM, 3.7rbds, 4ast), il n’est guère épaulé d’un TP absent (15.1pts, 4.8ast) et Burke qui ne prend pas la mesure de son poste (15.1pts, 4.8ast), le seul point positif, c’est bien leur pourcentage aux FG% qui, allié à celui des intérieurs, fait mouche.

L’aile ressemble à s’y méprendre à l’autoroute du soleil un 15 août: 4 SF/PF en soutien à 2 PF/C, il n’y a tout simplement aucun SG/SF, limitant les possibilités les soirs de match. D’autant que les joueurs sont assez productifs, derrière un Durant pas encore à 100% (25pts à 52% et 84%, 2.2 3PTM, 6.2rbds, 3.6ast), on retrouve le tandem du Magic qui est en roue libre: Tobias Harris (18pts, 6.9rbds) et Vucevic (18.4pts, 11.1rbds), Duncan complète bien (15.3pts, 10.3rbds, 2blks), c’est le seul joueur qui réalise plus d’un block dans tout l’effectif, Kanter apporte dans le même registre (14pts, 7.2rbds).

Tous ces joueurs expliquent les victoires aux FG/RBDS ainsi qu’aux PTS/AST, le bas blesse malheureusement sur les « catégories oubliées », souvent: 3PTM/ST/BLK/To où certains se sont faits spécialistes tout en jouant sur celles précitées. Cette équipe doit être évaluée à son plein potentiel, toujours pas atteint mais le manque de quelques joueurs sur des stats précises fait qu’il sera difficile de jouer des coudes avec les contenders.

Conclusion: 2015, Néo accroche sa place de playoffable sauf blessure(s).

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#10 Max

Bilan: 6-4-0

Comme le prouve Max, la spécialisation paie mais les grosses défaites (1-8; 2-7) plombent rapidement le bilan quand on gagne par trois fois sur la moindre victoire (5-4). Comptant 30 joueurs par semaine, ce roster devrait faire des étincelles mais ses lacunes assez graves (4 catégories à 3-7!) l’empêchent de prétendre à plus, c’est tout ou rien.

La faute à des intérieurs trop penchés sur l’extérieur mais aussi des joueurs avec du déchet à revendre: 8 joueurs à moins de 75% aux FT%, 7 joueurs avec au moins 1.5TO, 6 joueurs à moins de 45% au FG%, par exemple et seulement un nouveau venu qui apporte du block (Gobert) puisqu’aucun joueur n’atteint l’unité en moyenne dans la catégorie.

La Free Agency peut aider à combler ces déficiences, même si je doute que les pourcentages puissent être sauvés, pro-tips: RBDS/BLKS pourraient faire de cette équipe un véritable playoffable; prendre Gobert est une très bon premier pas. Parlons des côtés positifs à présent: ça score, ça shoote de loin et la saison ahurissante de Lawson au passing couplée aux différents voleurs de ballon permet de sécuriser définitivement ces catégories.

En effet, à la mène, Ty lawson tourne en double-double de moyenne (16.7pts, 1.0 3PTM, 10.0ast, 1.4st), avec en lieutenant un Wroten au champ libre aux Sixers (17.1pts, 1.2 3PTM, 5.3ast, 1.7st) complet à défaut d’être efficace. Même les doublures sont intéressantes, Mayo retrouve son shoot, Joseph sort de bons matchs en l’absence de Parker, tout ça en ayant deux slashers à rendement excellent: Bradley Beal (15.2pts, 2.0 3PTM, 1.5st) et Gerald Green (14.1pts, 2.3 3PTM) dans un rôle tout à fait à propos.

Si Max doit être déçu des apports de Thaddeus Young qui connait une des pires saisons de sa carrière, le sourire revient rapidement. Jared Sullinger confirme son statut d’intérieur fuyant aux Celtics (13.4pts, 1.1 3PTM, 8rbds), comme Chris Bosh (21.2pts, 1.5 3PTM, 7.8rbds, 1st) et Blake Griffin, ultra-complet pour sa part (22.6pts, 7.7rbds, 5.1ast) et dont la saison n’est pas assez louée.

Conclusion: Il n’en faut pas beaucoup pour que ce roster devienne vraiment compétitif, il s’agit d’ajustements en lien avec tes points forts/faibles.

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#11 Rigo

Bilan: 4-6-0

Très moyenne, c’est la qualification qui s’applique le mieux à l’équipe de Rigo. Comme on le voit, hormis aux RBDS, tout est toujours sur l’équilibre et partagé, en fonction de l’adversaire. Ce n’est pas étonnant de voir que les match-up se terminent avec des 5-4/4-5 ou des 6-3/3-6 le plus souvent, malgré les 30.1 joueurs effectifs par semaine, sensés faire la différence dans ce type de situation.

Ce serait faire abstraction du fléau de blessure qui touche les joueurs de Rigo: Pekovic n’a joué que 9 matchs cette saison (un retour serait prévu dans la semaine), Stephenson n’a joué que 25 matchs sans vraiment trouver sa place aux Hornets (10.2pts, 6.8rbds, 4.8ast) avec des pourcentages risibles (38.6%/15.1%/63.5%), sans oublier Taj Gibson, Serge Ibaka; il a donc fallu réaliser 14 moves en 10 semaines (4ème plus haut de la ligue).

Le plus troublant, à première vue, c’est peut-être le fait que oui, Rigo est capable de belles choses avec tous ses joueurs. Il possède un secteur intérieur très consistant avec pêle-mêle Serge Ibaka (14.2pts, 1.4 3PTM, 7.2rbds, 2.4blks) Jonas Valanciunas (12.5pts, 8.5rbds, 1.0blks), Taj Gibson (11.2pts, 6.9rbds, 1.2blks), Pekovic (11.9pts, 8.1rbds) et Mason Plumlee (9.8pts, 6.9rbds, 1.1blks). 5 PF/C sur 12 joueurs effectifs, c’est peut-être un peu trop, non? Il ne serait pas farfelu de trader un de ceux-là contre un membre du backcourt scoreur et passeur afin d’assurer des catégories que tu remportes presque.

Car, oui, Damian Lillard est un des TOP PG de la ligue et tient le backcourt seul (21.9pts, 2.7 3PTM, 4.8rbds, 6.3ast, 1.4st), en comptant quelques soutiens (Jack, Brooks) non-négligeables mais peut-être trop irréguliers. Jack a néanmoins le champ libre sans D-Will à présent et Evan Turner peut être un gros coup (10.3pts, 6.1rbds, 6.1ast) alors que Jeff Green baisse en régime lentement mais surement. Le banc explique que tu ne coules pas en dépit des blessures, il s’agit simplement de déplacer le curseur à présent pour dominer là où tu le sens et tu as des armes à échanger pour ce faire.

Conclusion: Des espoirs qui naissent par une réaction.

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#12 Jérôme

Bilan: 5-5-0

Ce drop total après la Week 3! Une chute de 11 places en l’espace de 3 semaines et qui s’expliquait par une conjonction de blessures assez effarante avec 6 joueurs sur 12 sur le flan en l’espace de quelques jours. Dernièrement encore, Z-Bo était absent, Muhammad et Belinelli sont sur l’IR, où va-t-on? Pourtant, Jérôme n’aura fait que 9 petits moves (11ème de la ligue en terme d’activité) tout en comptant encore 30 joueurs effectifs par semaine en moyenne.

Les raisons d’espérer pour la seconde partie de saison sont réelles: Brandon Jennings retrouve son niveau de production des Bucks, l’efficacité en plus, Kenneth Faried sort de sa léthargie (d’autant que le départ de Mozgov l’aide bien) et Love réapparait sur les radars du double-double régulier. Il y a des noms ronflants, c’est un fait, et  néanmoins, l’équipe n’a l’avantage que sur les pourcentages, les 3PTM et les RBDS. Ayons à l’esprit qu’au complet et avec quelques meilleures perf’ (ex: Batum…), les PTS sont très largement jouables, en gros, jouer les 5 premières catégories tout en amortissant le choc sur les 4 dernières, c’est le Gameplan.

J’ai la plaisir de dire que c’est jouable, tant que D-Wade (21.6pts, 4.4rbds, 5ast, 1st), Brandon Jennings (19.4pts, 2.6 3PTM, 6.3ast, 1.3st) et Kevin Love (20.9pts, 1.4 3PTM, 11.6rbds) tiennent le rythme qui est le leur depuis 2 semaines. Pour compléter le Core 6, les apports d’Isaiah Thomas (14.7pts, 1.5 3PTM, 3.7ast), Z-Bo (15.9pts, 11.4rbds) et Faried (11.6pts, 8.7rbds) sont indispensables. Les doutes resurgissent une fois le regard passé sur le banc, car à part Muhammad au scoring (16ppg) et Batum en berne, les productions sont très aléatoires. Le Blazer est, comme Thomas, une énorme déception d’ailleurs.

Conclusion: Un trade pourrait être envisagé pour trouver des joueurs plus réguliers mais en l’état, ton Core6, sur une semaine pleine sans blessure, peut te faire remonter accrocher les dernières places. Quant à Eric Gordon, tu as appris à tes dépends pourquoi il ne faut pas le drafter.

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#13 Arthur

Bilan: 4-6-0

Commençons par un constat cinglant: sur les 4 victoires de l’équipe, 3 l’ont été sur le score de 5-4! De plus, l’équipe est sur une série de 4 défaites consécutives, expliquant la chute assez rapide depuis la Week 7 et qui tient, à une particularité du Management d’Arthur depuis le début de la saison: il ne compte que 27.1 joueurs effectifs en moyenne par semaine, soit 2 joueurs en moins que la moyenne (29.4) et surtout, le plus petit nombre de toute la ligue.

Pourtant, Arthur tente de jouer sur la Free Agency (12 moves), celle-ci ne pallie pas la gestion au quotidien (il existe une appli pour Smartphone tu sais? Que tu sois sur Android ou IOs) et la participation aux comptes-rendu où je te répète (c’est la pédagogie ça, répéter) un nombre incalculable de fois que tu perds à cause de ta non-gestion ponctuelle. Le pire, c’est que l’équipe formée par le breton tenait la route, il n’aurait fait AUCUN move, qu’il avait encore une team compétitive aujourd’hui.

Cependant, ce nombre réduit de joueurs réduit les catégories gagnées à une portion très congrue, celle des Ghost Team (FT%/TO), seul le Block et les PTS se jouent encore avec les autres GM à cause de la raquette alignée. Les blessures d’Al Jefferson et Stoudemire ajoutent (comme l’absence en début de saison de David West) plus d’une difficulté. Big Al était le pilier du roster (18pts à 48%, 8.2rbds) pour former une colonne avec un meneur efficace, Jeff Teague (17.5pts, 1.1 3PTM, 7.2ast, 1.7st) et un arrière en plein boom, Jimmy Butler (21pts, 6.3rbds, 3.4ast, 1.7st). Les vétérans complètent ce Big Three, comptant un Joe Johnson plus qu’intéressant au scoring (16.5pts, 1.7 3PTM, 4.7rbds, 3.8ast) et Dirk Nowitzki dans son équipe de stars (18.6pts, 90% aux FT%, 5.9rbds).

Le nouveau statut d’Avery Bradley semble lui donner des ailes (16.3pts, 2.0 3PTM, 1st), aussi efficient que Matt Barnes (16.3pts) sur les 7 derniers jours, et, évidemment, David West (15.2pts, 6.8rbds, 4ast cette semaine). Je pense que tu as suivi mon argument: les joueurs sont présents, la draft était bonne et se maintient encore, à l’instar de certains choix en F.A. Il suffit juste de bien gérer afin d’avoir un nombre suffisant de joueurs sur la deuxième partie de saison.

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#14 Chris

Bilan: 3-7-0

13 points match-up encaissés sur les 3 dernières défaites d’avant mi-saison, la chute continue et semble inéluctable pour Chris, à présent à 25pts match-up de Bob et officiellement dans les équipes qui ne remonteront pas (8pts match-up pour revenir sur Jérôme, 12ème). Comme ses homologues du fond du panier, il tente des moves (12) mais cela ne change rien: il pointe à la 14ème place au nombre de joueurs effectifs moyens (28), à peine mieux que la lanterne rouge.

Un mot symbolise bien l’état d’esprit de Chris après 10 rencontres: désillusion. De nombreux picks se sont révélés être des poisons: Dwight Howard n’a joué que 24 matchs et contre autant de ballons que lors de sa saison rookie (1.7), Rajon Rondo et Deron Williams sont loin de leurs meilleurs stats, le premier va même subir un gros cool off aux Mavs et que dire d’Iguodala, Nênê ou la saison terminée pour Julius Randle sur blessure? La déprime guette suite à un tel constat.

Pour te remonter le moral (vu que tu ne remonteras pas au classement), mention est faite pour Aldridge (23.1pts, 10.5rbds, 1.2blks) toujours aussi impeccable d’efficacité, aidé par Dwight (17.2pts, 11.6rbds, 1.6blks) et Asik (7pts, 9.8rbds). Ces trois joueurs expliquent la belle prestation aux RBDS alors que D-Will (13.9pts, 6.3ast) avec Rondo (9.2pts, 6.8rbds, 9.9ast, 1.7st) permettent de faire la différence aux AST par moments. Au confluent de ces deux univers, Ty Evans est d’une polyvalence presque occulté par les médias, en compilant 16.8pts, 5.5rbds, 5.3ast, 1.3st, bien aidé par des joueurs qui se réveillent, Lou Williams (16.9ppg, 2.0 3PTM) et Andrew Wiggins (17.5pts, 4.7rbds).

Tu tentes même le pari Eric Gordon ou Reggie Jackson pour compléter….et c’est tout à ton honneur.

Conclusion: Tu ne mérites pas une si mauvaise position, pour le dire plus clairement, tu prends juste trop cher lors de tes défaites tout en comptant 3 victoires sur le score de 5-4…c’est le pire scénario possible.

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#15 Mustang

Bilan: 1-8-1

Voici le sort réservé aux Draft 2 étoiles :p 5 défaites consécutives et un graphique assez éloquent: la régularité de Mustang dans les bas-fonds de la ligue, en compagnie de son ami poilu Zezotte, est à toute épreuve! Sa seule catégorie remportée haut la main, c’est les TO, il perd moins régulièrement les FG% et RBDS, notons-le. Ironie du sort, Mustang est, derrière Bob, le second GM ayant fait le plus de moves cette saison (15), il ne pointe pourtant qu’à la 12ème place en nombres de joueurs effectifs moyens (29.1).

Tout n’est pas de son fait – même si sa construction primitive était déjà critiquable – puisque de nombreuses blessures sont venus ternir ses intentions. Jabari Parker ne rejouera plus cette saison (au revoir pick #4), José Calderon et Ricky Rubio ont joué un total de 32 matchs cette saison (27 pour le vétéran), Carmelo Anthony souffre et pense à se faire opérer….les nouvelles ne sont jamais bonnes de ce côté du Danemark.

Pour en rajouter une couche: il n’y a que 3 joueurs qui dépassent les 10ppg, seulement 4 qui volent plus qu’un ballon par match. Encore heureux que Mustang ait attrapé Covington en F.A (15.1pts, 2.9 3PTM, 5.7rbds, 1.8st), il complète le Big Three de Melo (26.3pts, 1.2 3PTM, 6.6rbds, 1.2st) et Arron Afflalo (15.5ppg). En tentant de rabibocher ce qui peut encore l’être, on aperçoit plusieurs rebondeurs (6 joueurs à 5rbds et +) avec des roles players comme PJ Tucker, Mirotic ou…Chris Andersen, pour épauler Jooks (7.9pts, 9.6rbds) complètement à côté de ses pompes statistiquement avec l’avènement de Gasol, sans parler de Scola dans le marasme des Pacers.

Conclusion: On l’a compris: ça ne tient pas la route. Il est pour ainsi dire impossible de remonter les 30 points match-up de retard sur Bob avec cet effectif, voire même les 13pts qui séparent à présent la 15ème place de la 12ème.

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#16 Zezotte

Bilan: 2-8-0

Une seule catégorie dans le positif, une série de 5 défaites (en cours) consécutives, et, plus étonnant, seulement 2 moves en 10 rencontres (2ème plus petit nombre de moves avec Néo-Alpha). Les blessures récurrent qui ont touché le roster de Zezotte expliquent en partie sa saison: Bryant, David Lee qui n’a joué que 6 matchs tout en perdant son poste de titulaire, Ginobili…et un effectif loin d’être aussi bon que prévu.

On pensait la raquette sécuriser avec Cousins/Lee/Hibbert/Boozer et au final, le RBD est la pire catégorie de l’effectif (1-9-0), avec quelques égalités piteuses aux BLKS….il faut plutôt se tourner du côté des FT%/AST et ST pour avoir un semblant de performance grâce, notamment à Cousins (23.8pts, 12.3rbds, 1.2st, 1.7blks), très complet derrière le backcourt tenu par Jrue Holiday (15.5pts, 1.3 3PTM, 7.3ast, 1.6st) et Kobe Bryant (23pts, 1.5 3PTM, 5.6rbds, 5.3ast, 1.4st). Avec ce Big Three, très productif et intéressant, on ne retrouve qu’un Kyle Korver artilleur (12.8pts, 2.9 3PTM) et c’est à peu près tout.

Oui, le reste des joueurs apporte de-ci, de-là, à l’image de Payton (6.7pts, 5.3ast) ou Gino (12.5pts) mais c’est une goutte d’eau dans un océan de javel. Même Hibbert n’a pas su se mettre au niveau (11.4pts, 7rbds, 1.9blks) en restant sur ses standards dans une losing team, pareil pour Boozer (12.9pts, 7.1rbds). Bref, le talon d’Achille vient au final de ce secteur prisé par José, lui qui a compté seulement 27.9 joueurs effectifs moyens sur la mi-saison (15ème), difficile de faire du volume dans ces circonstances.

Conclusion: Avec 31 points match-up de retard sur Bob, comme Mustang, la messe est dite.

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CLASSEMENT GÉNÉRAL

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Commentaire et prédictions

 Il semble que la ligue se soit transformée en une bataille à 12 pour les playoffs. Je ne saurai être présomptueux en annonçant l’élimination d’Arthur ou Chris, assez loin quand même, en tout cas, pour Mustang et Zezotte, il n’y a que Tom Cruise pour vous sortir de votre pétrin. J’oserai dire que la bataille des 12 commence, imaginant peu probable une chute de Bob vu son avance: il y a moins de 10 points match-up entre Ben (second) et Jérôme (douzième), les 9 premiers sont à + de 50% au bilan, les 12 premiers au-dessus de 48%.

La deadline est fixée au 19 février en NBA et plusieurs moves sont attendus. Elle est fixée au 5 mars dans notre ligue et très sincèrement, ce serait bien qu’il y ait un peu d’action car la tristesse m’envahit lorsque Yahoo, dans sa méchanceté habituelle, me jette cet écran à la figure:

N’hésitez pas à jeter un oeil au Trading Block et à l’update:

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 Classement réel

1. Bob 9-1-0 (67.8%)  W-4
2. Ben  7-3-0  (58.9%)  W-1
3. Larry 7-3-0 (57.8%)  W-4
4. Stephyx 6-3-1 (51.7%)  L-1
5. N.K 6-4-0 (57.2%)  L-1
6. HOF 6-4-0 (52.8%) W-5
7. Max 6-4-0 (48.9%)  W-2
8. Nyco  5-5-0 (52.8%)  L-2
9. Jérôme 5-5-0 (48.3%)  W-3
10. Rigo 4-6-0 (48.9%)  L-1
11. Arthur 4-6-0 (42.8%)  L-3
12. Rip 4-6-0 (54.4%)  W-1
13. Néo-Alpha 4-6-0 (50.0%)  W-1
14. Chris 3-7-0 (40.0%)  L-3
15. Zezotte 2-8-0 (33.3%)  L-5
16. Mustang 1-8-1 (34.4%)  L-5

Toujours révélateur, ce classement prend uniquement en compte victoires et défaites pour rendre compte le plus fidèlement le classement général. Dans le TOP 8, on retrouve 7 managers qui font aussi partie du TOP 8 en fonction des points match-up, il n’y a que Max qui déroge à la règle à cause de ses petites victoires (5-4/5-3) qui pèsent évidemment moins lourds que des jolis scores à 3-4 points match-up d’écart. On se rend également compte des tendances: le trio Chris-Zezotte-Mustang (rajoutera-t-on bientôt Arthur?) s’enfonce toujours plus profondément tandis que Jérôme est sur la pente ascendante avec 3 victoires et aux portes des playoffs.

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Schedule – l’impact du calendrier

On en parle peu mais le calendrier est, dans le sport en général, un facteur très important. Or, la Fantasy League est un sport de fauteuil agréé et doit donc être analysé par le prisme de cette variante. Afin de lisser au mieux le rendu des performances (sur les 10 semaines), j’ai décidé de classer les rencontres avec soit le TOP 8, soit le FLOP 8, en fonction du classement final de la Week 10. Même si regarder semaine par semaine, quel classement était à l’ordre du jour (ex: Nyco d’abord 1er puis plus bas dans le classement), aurait affiné l’analyse, je préfère voir la destination plutôt que le voyage.

Stephyx joue le rôle de séparateur à la 8ème place pour le TOP 8 et Néo celui du Flop 8. On se rend compte que seul Rigo a connu calendrier réellement difficile, en affrontant 7 fois sur 10 un membre du TOP 8 final. Les quatre derniers ont également dû faire face par 6 fois sur 10 à un membre du TOP 8. Le reste est plutôt équilibré, il parait assez sensé de voir les meilleurs joueurs affronter les moins bons le plus souvent car ils les coulent au classement final en leur infligeant des défaites.

Globalement, il n’y a pas de déséquilibre flagrant, d’équipe ayant plus de chances qu’une autre, seul Rigo sort du lot, lui assurant de pouvoir remonter plus vite lors de la seconde partie de saison où il affronte 5 non-playoffables à l’heure actuelle.

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L’impact de la place à la draft et la gestion des F.A

On revient sur ce sempiternel débat qui voudrait qu’hériter du premier pick vous donne automatiquement les clés de la ligue. Et à chaque fois, de répéter que oui, ça aide mais pas que. En image:

Cette année penche plutôt pour dire que oui, la place à la draft a été quelque peu déterminante. Néanmoins, je tempèrerai cet état de fait par un facteur important : l’absence de trades. Il n’y a pas eu de rééquilibrages ou de tentatives de remodelage de roster, figeant réellement les équipes dans leurs premiers choix et les hasards de la Free Agency, rythmée par les surprises en terme de trade en NBA.

Seulement deux joueurs du bottom-16 à la draft, accèdent au TOP 8 (Ben, 13ème et Nyco, 16ème), tous deux proches de la fin de la draft. De plus, la place à la draft ne dicte pas l’activité des Managers dans la ligue:

Dans les 8 GM réalisant le plus de moves, il n’y a que Stephyx, N.K et Bob actuellement dans le TOP 8. Inversement, dans le TOP 8 des GM faisant le moins de moves, il n’y a que Zezotte et Jérôme faisant partie du Flop 8 actuel, avec un grand écart entre les deux (7) tout de même. On aurait tendance à voir l’activité d’un GM s’agrandir à mesure qu’il s’enfonce dans le classement, donc, même si ce n’est pas une vérité générale.

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Nombre de joueurs effectifs

Je vous rappelle la méthode appliquée: je compte manuellement le nombre de joueurs effectifs. On arrive à un classement en fonction du nombre de joueurs effectifs moyens:

On retrouve 5 des 8 joueurs du Flop 8 aux pires positions dans ce classement, expliquant partiellement leurs mauvaises performances, spécialement pour Arthur. Pour vous combler de bonheur, voici les statistiques exhaustives par semaine et par Manager:

Il m’a fallu, par la suite, vérifier l’importance de ces chiffres en les corrélant aux victoires/défaites de chacun suivant le schéma suivant:

• Un nombre de joueurs supérieurs (>) et une victoire
• Un nombre de joueurs supérieurs (>) et une défaite
• Un nombre de joueurs inférieurs (<) et une défaite
• Un nombre de joueurs inférieurs (<) et une victoire
• Égalité au nombre de joueurs et victoire
• Égalité au nombre de joueurs et défaite
• Égalité au nombre de joueurs et égalité au score

La seule anomalie qui ressort concerne Max: 5 victoires en ayant plus de joueurs effectifs et pourtant absent du TOP 8, toujours ce petit écart (5-4/5-3) qui fait la différence car Bob, Larry et N.K comptent le plus de victoires avec une supériorité numérique (6 sur 10 matchs) et inversement, Zezotte compte 7 défaites sur 10 matchs avec une infériorité numérique à chaque fois.

Plus étonnante, l’augmentation de la proportion de victoires avec un nombre de joueurs effectifs inférieurs à l’adversaire et, vice-versa, les défaites avec un nombre de joueurs effectifs supérieurs. Nous comptions pour 10% de ces victoires/défaites atypiques, ce chiffre augmente significativement en passant à 15% cette saison, la palme revenant à Mustang et Chris qui ont perdu 4 matchs en ayant plus de joueurs effectifs que leur adversaire. De l’autre côté du spectre, Bob, Ben et Arthur ont gagné par 3 fois en ayant moins de joueurs effectifs que leur adversaire.

Enfin, plus rare, nous avons connu une égalité au score et aux nombre de joueurs effectifs entre Stephyx et Mustang.

Conclusion: En comptant 31.88% de cas de victoires avec un nombre de joueurs effectifs supérieurs/ défaites avec un nombre de joueurs inférieurs, la norme reste que le nombre fait la force.

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Les blessures (Approximatif)

Ne bénéficiant de pratiquement aucune stats sur ce sujet par le biais de Yahoo, il aurait fallu un travail de fourmi assez gigantesque pour compter le nombre, par GM, de matchs manqués de joueurs semaines après semaines soit 160 semaines à analyser à travers 7 jours (1120 jours), j’ai pris la décision de vivre quelques heures de plus plutôt que d’éplucher un tel vivier d’informations.

Soyons malins, j’ai tenté de restreindre une liste de joueurs blessés ayant un impact significatif, avec deux critères: ils jouent plus de 25 minutes par match et n’ont pas joué plus de 25 matchs cette saison (sur les 40 déjà disputés).

Une liste de 22 noms est ressortie:

Il est intéressant de comparer ces absences remarquées avec leur pick à la Draft (les joueurs non-cités n’ont pas été draftés) :

• Dwight Howard (2nd tour avec le 21ème pick chez Chris)
• Jabari Parker (4ème tour avec le 57ème pick chez Mustang; saison terminée)
• Lance Stephenson (3ème tour avec le 47ème pick chez Rigo)
• Michael Kidd-Gilchrist (10ème tour avec le 147ème pick chez Arthur)
• Patrick Beverley (6ème tour avec le 92ème pick chez Rip)
• Robin Lopez (5ème tour avec le 67ème pick chez Larry)
• David West (5ème tour avec le 78ème pick chez Arthur)
• Iman Shumpert (12ème tour avec le 183ème pick chez Max)
• Tony Parker (5ème tour avec le 70ème pick chez Néo-Alpha)
• Russell Westbrook (1er tour avec le 7ème pick chez HOF)
• Kawhi Leonard (2ème tour avec le 28ème pick chez Rip)
• DeMar DeRozan (4ème tour avec le 52ème pick chez Ben)
• Eric Gordon (8ème tour avec le 120ème choix chez Jérôme)
• Kevin Durant (1er tour avec le 6ème choix chez Néo-Alpha)
• Kevin Martin (6ème tour avec le 84ème choix chez Ben)
• Nikola Pekovic (4ème tour avec le 50ème choix chez Rigo)
• George Hill (6ème tour avec le 90ème pick chez HOF)
• Ricky Rubio (3ème tour avec le 40ème choix chez Mustang)
• Terrence Jones (6ème tour avec le 81ème choix chez Nyco)

Un TOP 3 des joueurs pris le plus haut et ayant manqué le plus de matchs se dégage rapidement:

1. Kevin Durant (14 matchs joués sur 40)
2. Nikola Pekovic (9 matchs joués sur 40)
3. Ricky Rubio (5 matchs joués sur 40)

Deux Wolves dans le lot et deux managers qui connaissent chacun deux absences de taille: Mustang et Néo-Alpha. Vous avez officiellement le droit de pleurnicher.

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STATISTIQUES GLOBALES

Le Champion d’Automne : Bob

Équipe de la semaine : Bob

Manager leaders stats

• FG%: Neo-Alpha (47.8%)
• FT%: Larry/Arthur (80.2%)
• 3PTM: Bob (429)
• PTS:  Larry (4612)
• RBDS: Néo-Alpha (1701)
• AST:  Max (1085)
• ST: Bob (375)
• BLKS: N.K (232)
• TO: Arthur/Mustang (449)

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Le TOP 10 des meilleurs joueurs selon le Rank Yahoo

Il est intéressant de noter que 4 des 10 meilleurs joueurs FL sont des meneurs, tandis que 4 autres sont des arrières/ailiers. Il ne reste que deux intérieurs, Davis et Gasol dans ce TOP, logique car l’ère des ailiers forts touche-à-tout est belle et bien révolue en NBA, le jeu rapide de transition de combo-guards et autres ailiers très complet connait un véritable avènement. Yahoo possède un autre outil:  les MVP, c’est-à-dire les joueurs qui apparaissent le plus souvent dans les 500 meilleures équipes de Fantasy:

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Book of Records

Un suivi assez étroit est réalisé par Yahoo depuis la saison 2011 concernant les performances des différentes équipes. Petit rappel des GM qui ont le mieux performé dans l’une ou l’autre catégorie statistique:

• Field Goal % sur une semaine : Arthur (58.6% en Week 23 de la saison 2012)
• Field Goal % sur une saison : Mustang (52.1% en 2014)
• Free Throw % sur une semaine : Eagle (92.6% en Week 2 en 2012)
• Free Throw % sur une saison : Arthur (87.3% en 2014)
• 3PTM  sur une semaine : HOF (69 en Week 24 de 2013)
• 3PTM sur une saison : Ben (1013 en 2013)
• PTS sur une semaine : Max (826 en 2011)
• PTS sur une saison : Bob (13.237 en 2013)
• RBDS sur une semaine : Eagle et Chris (304 en Week 24 en 2011)
• RBDS sur une saison : Larry (4718 en 2013)
• Assists sur une semaine : Max (210 en Week 24 en 2011)
• Assists sur une saison : Bob (2769 en 2012)
• Steals sur une semaine : Max (71 en Week 24 en 2011)
• Steals sur une saison : Jérôme (886 en 2013)
• Blocks sur une semaine : Eagle (53 en Week 5 en 2011)
• Blocks sur une saison : Eagle (587 en 2011)
• Turnovers sur une semaine : Jérôme (Week 16 en 2011) et Arthur (Week 9 en 2014) avec 23 TO
• Turnovers sur une saison : Bug total de Yahoo ahah
• Pires Turnovers sur une semaine : Néo-Alpha (98 en Week 7 en 2013)
• Pires Turnovers sur une saison : Zezotte (1198 en 2011)

A l’évidence, les dernières semaines de la saison, notamment la finale qui se joue sur une semaine et demi et plus, trustent le pavé, impossible d’avoir mieux…